L'ironie est aussi cruelle que tragique. En novembre dernier, l'ambulancier Hugo St-Onge signait une lettre ouverte pour dénoncer le manque d'ambulances dans la ville de Lévis. Un mois plus tard, le jeune homme de 24 ans est lui-même mort d'un arrêt cardiorespiratoire… en attendant une ambulance qui a mis le double du temps recommandé pour se rendre à son secours.Voir l’article sur le site La Presse
